Livre d'or du roman psychologique l'essence des maux de corinne DOLLON
A la lecture de ton roman, je me dis, et j'en suis
certaine, que bien des personnes vont se retrouver dans la sombre histoire,
si particulière à Lucie.
La douleur de l'être qui souffre en son âme, quelle qu'en soit
l'essence, reste incontrôlable, sournoise et vicieuse à souhait
: elle apporte la honte pour celui qui l'endure - car forcément il
a tout pour être heureux! - et l'incompréhension de l'entourage
qui se contente des apparences.
Alors souvent on la tait, on évite d'en parler, on vit avec, s'imaginant,
qu'après tout, c'est bien ce que l'on mérite !
Et puis...
On croise sur sa route une nouvelle âme sensible qui sait et qui comprend
sans les mots autour.
On se livre à force de trop contenir, on s'étonne d'être
écouté, d'être aimé alors que l'on s'estime si
peu.
C'est un miracle mais ça arrive !
L'essence des maux est un beau message d'espoir pour celui qui souffre alors
qu'il lit tes mots, une leçon d'humanité pour tous les autres
qui ont la chance tout simplement de se sentir...bien !
Sabine
Artiste peintre, créatrice de la couverture
Environ deux heures m’ont suffi pour me délecter
de ce nouveau roman. Je suis bluffé et comme je vous avais cataloguée
parmi les auteurs régionalistes, je vous demande humblement pardon.
Ces auteurs n’ont rien à voir avec l’essence des maux.
Mais quels maux ! Quelle dextérité pour amener le lecteur au
final où Lucie découvre qu’en fait son secret ? Partir
de la vie cauchemardesque de cette fille infirmière qui se dévoue
corps et âmes à ses malades pour arriver à la découverte
de ce drame familial, en passant par la découverte d’une amitié
de Noëlle à toute épreuve et ....
Quel talent ! On pourrait croire tellement ce roman sent le réalisme
que c’est le récit de votre propre vie ou d’un être
que vous avez côtoyé.
Et que dire de la syntaxe, une écriture légère un style
alerte qui tient le lecteur en haleine. Même mon épouse qui n’est
pas une grande lectrice n’a pu s’en détacher et l’a
lu dans des délais que je ne lui avais jamais connus.
Parfums d’âmes était une bonne mouture, qui je pense a
connu beaucoup de succès, mais là Corinne, je pressens pour
ce dernier quelque chose de fort. Très fort. Je vais risquer le tutoiement
: " Corinne tu es une merveilleuse auteure qui a touché mon cœur."
A quand la vie de Ambre ?????
Bravo encore, mon amitié vous est acquise.
Jean-Claude Meunier
Merci pour le délicieux moment que j’ai passé avec « L ».
J’ai ressenti pleinement les souffrances
de ton héroïne. Il est vrai que la lecture permet de quitter ce
monde faux pour entrer dans un monde vrai et meilleur.
Dans ton livre, je me suis maintes fois retrouvée…
Il faut que tout le monde le lise surtout avec le cœur.
Régine Dollon
Très jolie fin. J’ai lu des heures et des heures sans me préoccuper du reste.
Je vais devoir faire une pause avant de pouvoir ouvrir
un nouveau livre : je suis trop « remplie » de celui-ci.
Belle écriture, vives émotions. Bravo.
Laurence Gozillon
[…]
Et suis sûre que la force de ton écriture n’est pas pour
rien dans cette remontée de souvenirs.
Il y a quelque chose dans ton écriture qui se met en lieu immédiatement
avec des parcelles de l’intimité de tes lecteurs…
Nadine Boyals - juillet 2006
Ma chère coco,
tant de sensibilité à fleur de peau, et de page !!!!
Merci de partager cette belle émotion avec nous tous, avec ceux et
celles qui t'aiment... C'est un bien rare....
A très bientôt à tes côtés.
L'amie
Nadine
le 30 juin 2007
J’aime ton style, ta fluidité, ton naturel
qui transparaît dans tes mots, ton hospitalité… On sent
que tu donnes beaucoup de toi, de ton entourage dans ce dernier roman...
Carole Gomez-Gauthié
"Unputdownable", comme disent si justement les Anglais ! Oui, tu avais raison dans ta dédicace Coco, tes mots, ces maux m'ont touchée. Des mots forts, des mots doux, des mots justes, des mots tendres, des mots non-dits qui font mouche, ceux si bien pesés qui te disent telle que je te sais et ceux qui m'apprennent encore sur toi et me rendent si fière de te connaître. Les maux de L... m'ont émue et remuée profondément. Une résonnance qui rassure mais questionne encore longtemps une fois le livre fermé. Des mots sur les maux, encore faut-il savoir les (faire) entendre...
Bravo Coco !
Ta Nan ( Anne Lespeix) 20 juin 2007
Dans la vie, nous ne nous tutoyons pas (encore), mais l'écho de ces pages ne peut être qu'un tutoiement au plan de l'âme... Ce n'est pas un livre, c'est structurellement, essentiellement, le chemin de toute naissance à soi. Et si toute naissance est émouvante, que dire de celle qui résulte de la confrontation au non-dit, à ses symptômes, à ses schémas de répétition, à ses conditionnements, à ses fuites en errance ou en avant, à ses deuils nécessaires, et à la vulnérabilité vivifiante qui ose apprivoiser le nouveau, le possible, la confiance... Merci pour tous ceux qui se reconnaitront sur ce chemin, que ce soit dans l'incrédulité d'un espoir, ou dans la plénitude d'une vie "habitée"... Nous n'avons jamais fini d'ouvrir les portes vers la lumière !
Patrick Morisset - Chevalier
23 juin 2007
Je vous écris ce dimanche 24 juin 2007 alors
que je viens de terminer votre roman que vous m'avez laissé il y a
environ 15 jours en passant devant le local de notre radio à Cahors.
Nous devons nous rencontrer ce mercredi 27 juin pour une interview et j'avoue
que je suis ravi. Comme je vous l'ai dit, je dévore des livres depuis
que je suis tout petit. C'est presque une maladie, je ne peux m'empêcher
de passer par un rayon livre dans n'importe quel magasin en sachant que j'en
ai pleins d'autres à lire... c'est comme ça... et je tenais
à vous dire, d'ors et déjà, que j'ai beaucoup aimé
votre livre. J'ai eu du mal à y entrer au début je dois l'avouer
mais au fil des pages, je me suis senti proche de Lucie. Pourquoi ? Tout simplement
parce que ma vie est aussi très compliquée, pas comme je voudrais
qu'elle soit dans l'idéal (un peu comme tout le monde finalement...)
et savoir qu'en touchant le fond, il y a toujours une possibilité de
refaire surface, c'est encourageant... prendre une revanche sur la vie comme
le fait Lucie, finalement, c'est un beau message. Votre style est simple mais
efficace, pas barbant du tout à lire et bien sûr il y a plusieurs
messages à travers ce livre. Vous m'avez fait passer un très
bon moment et surtout en ce moment, vous m'avez redonné quelques raisons
d’espérer un avenir meilleur, ou tout du moins conforme à
ce que je me fais d'une vie épanouie...
à mercredi donc
Fabien Gonzalez, journaliste pour la radio Totem à Cahors dans le Lot
Vraiment bravo ! Je l'ai fini hier soir et j'ai été
contente jusqu'au bout. Bravo pour la "chute"... je ne m'y attendais
pas du tout. D'habitude, j'ai plutôt du flair !!
Un beau roman plein d'amour et de sensibilité qui est à ton
image. Je vais t'en acheter un deuxième - tu me le portes - car je
veux en offrir un et prêter le mien à plein de gens.
Je te souhaite encore beaucoup d'aventures de ce genre. Le monde a besoin
de ta poésie.
Merci et bise affectueuse.
Je garde un très bon souvenir du vernissage : chaleureux, cadre exceptionnel
et buffet extra !
Thérèse Rulié 27 juin 2007
Très Chère Corinne,
J'ai participé au vernissage que vous aviez organisé au château
de Labastide Marnhac en tant que voisine, je ne connaissais personne, j'hésitais
à m'y joindre. Cette manifestation très conviviale m'a apporté
beaucoup d'enrichissement personnel, m'a permis de rencontrer des personnes
très conscientes des bienfaits de la psychogénéalogie.
Je tiens à vous féliciter pour votre livre "L’essence
des maux" dont je reste imprégnée d'une grande émotion.
Au cours de cette lecture j'ai découvert beaucoup de choses que j'ignorais
notamment la réflexion en art-thérapie, comment l'on devient
artiste comment l'on découvre l'amour, comment on peut passer à
coté de choses formidables.
Moi aussi chaque soir je parle à mes anges gardiens
qui veillent sur moi.
Durant une période je les avais laissés de cotés parce
qu'ils ne s'intéressaient pas à mes problèmes.
A ujourd'hui je prends le temps de les remercier puisqu ils ont guidé
mes pas vers mon grand désir de réussite.
Félicitation à votre amie Sabine artiste
peintre qui a donné vie à une femme émouvante.
Je vous embrasse affectueusement.
Josiane Rodolosse - Pern
28 juin 2007
" Pour se sauver, elle a appris à se fondre
dans le décor, à se noyer dans la masse."
" Être sans paraître."
" Bouger sans déranger."
" Parler sans crier."
" Penser sans dire."
Ces mots m'ont semblé être écrits
pour moi comme une évidence.
Ils me rejoignent et me touchent plus que je ne saurais le dire.
Ma vie n'est pas celle de Lucie mais au travers de son histoire on reconnaît
tant de choses de l'enfance blessée, niée.
Tant de blessures à panser au long des années, chemin douloureux
pour naître enfin à soi-même mais chemin riche d'amour,
d'amitiés, de rencontres, d'épreuves parfois qui aident à
se découvrir peu à peu, à se (re)construire.
Merci à vous Corinne d'avoir su trouver les mots pour nous conter les "maux" qui ponctuent tant de vies.
Merci pour ce temps passé en lecture face à moi-même, accompagnant Lucie vers sa Re-naissance.
A bientôt, sans doute.
Avec reconnaissance.
Monique Morisset- Chevelier (29 Juin 2007)
Juste un petit mot pour te dire, sans complaisance,
que je me suis régalée avec "L'essence des maux".
J'ai dévoré le livre au bord de la piscine chez mes parents
entre deux baignades. Idéal !
Au début de ma lecture, j'avais l'impression de te voir au détour
de chaque mot puis cette impression passée je me suis fondue en Lucie
et j'ai vécu ses souffrances en même temps qu'elle. Je crois
que j'avais deviné ...
J'ai également apprécié le style littéraire (moi
qui suis issue de Lettres Modernes !) à la fois simple et élégant.
Je ne manquerai pas de faire l'éloge de ce roman à mon entourage
et à mes amis. Pour conclure, bravo et surtout continue de nous régaler
car tu as du talent !
Emmanuelle Gomy (15 juillet 2007)
Une seule phrase résume votre livre : "Les
bleus de l'enfance fixent la couleur de l'âme" (Jean Guéhenno)
Je n'en dirai pas plus... Votre roman ne se lit pas, il se comprend et il
nous interroge à chaque ligne sur notre difficulté à
nous construire après une fêlure. On n'est pas complètement
détruit mais on n'est pas non plus assez fort pour surmonter seul nos
angoisses et notre peur d'exister... S'accepter est difficile car l'on se
sent toujours responsable de nos maux et en quelque part coupable.
Un beau roman, un style puissant, des phrases simples, courtes, des mots vifs,
tranchants... une écriture libre et attachante. Bravo !
Françoise Vielzeuf-Balez (31 juillet 2007)
J'ai commencé la lecture de " L'essence
des maux " et je ne l'ai lâché qu'au dernier mot. J'ai donc
trouvé votre roman passionnant, instructif et il m'a rappelé
une conférence de Mme Jugla-Seubes (psychothérapeute) sur la
psychogénéalogie.
Dès que l'on aborde ce sujet on ne peut que s'interroger sur l'histoire
de notre famille, quels sont les secrets s'il y en a : c'est souvent le cas
mais peuvent paraître très anodins par rapport au secret de votre
héroïne. Ces secrets ou ces "oublis" ont ils eu une
influence importante sur notre vécu...
Je vous souhaite beaucoup de succès pour votre roman et j'attends avec
impatience le prochain.
Cordialement
Sylvie Giron (une lotoise exilée à Bordeaux)